Un « long soliloque sinueux[1] » par Sonia Le Moigne-Euzenot Le premier roman de Guy Alexandre Sounda a pour titre Confessions d’une Sardine sans tête, titre désopilant et énigmatique que les surréalistes n’auraient pas renié. L’auteur s’appuie sur ses expériences de comédien et de dramaturge pour nourrir son écriture. Le récit est façonné comme une pièce … Lire la suite →