Aimé Césaire, une critique de la fiction coloniale Par Nicolas Treiber En cette fin d’après-midi du 20 septembre 1956, Césaire monte à la tribune d’un amphithéâtre René Descartes comble. Il s’apprête à clore la deuxième journée du premier Congrès international des écrivains et artistes noirs qui se tient à la Sorbonne du … Lire la suite →