« Gusana imitima, réparer les coeurs[1] » Une lecture de Tous tes enfants dispersés par Virginie Brinker et Elsa Costero Tous tes enfants dispersés est le premier roman de Beata Umubyeyi Mairesse. Jusqu’alors, elle avait fait paraître deux recueils de nouvelles, Ejo (2015) et Lézardes (2017), et un recueil de poésie, Après le … Lire la suite
Un « long soliloque sinueux[1] » par Sonia Le Moigne-Euzenot Le premier roman de Guy Alexandre Sounda a pour titre Confessions d’une Sardine sans tête, titre désopilant et énigmatique que les surréalistes n’auraient pas renié. L’auteur s’appuie sur ses expériences de comédien et de dramaturge pour nourrir son écriture. Le récit est façonné comme une pièce … Lire la suite
Petit pays de Gaël Faye ou les paradoxes de la temporalité adolescente Par Virginie Brinker Est-il encore besoin de présenter Petit Pays de Gaël Faye[1] ? Ce premier roman, aux multiples prix, notamment le Prix Goncourt des Lycéens, narre une tranche de vie, celle de Gaby, un enfant contraint de grandir trop vite, pris … Lire la suite
Les enfants des cyclones de Ronald C. Paul par Lilyan Kesteloot Ce fonctionnaire haïtien, né en 1957, s’est surtout consacré au développement du livre et de la peinture dans son pays. Cette île dont on n’entend parler le plus souvent en termes de cataclysmes. Voici donc le premier roman de Ronald C. Paul, Les enfants … Lire la suite
Roman de l’affranchissement et affranchissement du roman par Virginie Brinker C’est grâce à Babelio et à sa nouvelle opération Masse Critique, que La Plume francophone peut aujourd’hui vous parler de La Quête d’Amy, premier roman de Naomi Ajavon[1], fondatrice de « La Croisée des Plumes », plateforme en ligne dédiée à la littérature togolaise contemporaine. Roman … Lire la suite
L’art et le droit de l’envers dans Debout-payé de Gauz par Virginie Brinker Etre « debout-payé », c’est « rester debout dans un grand magasin, répéter cet ennuyeux exploit de l’ennui, tous les jours, jusqu’à être payé à la fin du mois[1] ». Etre « debout-payé », c’est le quotidien de Kassoum et Ossiri, Abidjanais vivant à Paris. Mais dans ce … Lire la suite
Analyse Ndèye Fatou Kane, Le malheur de vivre préface de Cheikh Hamidou Kane Suivi d’un entretien avec l’auteure « Entre conte cruel et apologue : la fin de la littérature rose » par Célia Sadai Le Malheur de vivre, premier roman de Ndèye Fatou Kane paru en juin 2014 aux éditions L’Harmattan, rappelle à bien des égards la trilogie Magenta d’une autre … Lire la suite