La Soif d’Assia Djebar : identité et féminité dans le contexte colonial Par Ali Chibani Dès La Soif, son premier roman que les éditions Barzakh ont réédité[1], Assia Djebar[2] a trouvé sa voie dans l’écriture. Derrière l’histoire d’un quadrille amoureux qui n’est pas sans faire penser aux Affinités électives de Goethe, se cache … Lire la suite
A Mahfoud Boucebsi[1] Mahfoud[2] Un an après, en ce 15 juin, à l’heure exacte où ils t’ont frappé, ce matin, Toi dont le nom signifie le « bien gardé » Nous te gardons en nous, riant et jeune. Ils t’ont meurtri à l’entrée même de l’hôpital, le lieu des haltes, des rémissions, … Lire la suite
Une oeuvre d’Assia Djebar La nouba des femmes du mont Chenoua, un film documentaire d’Assia Djebar Djebar élue à l’Académie Française Le réalisateur Kamel Dahane interroge Assia Djebar sur son destin d’écrivaine algérienne Assia Djebar parle des langues en Algérie
« Est-ce que la patrie, c’est l’endroit où l’on n’est pas ?… »[1] par Camille Bossuet Berkane, immigré algérien de 45 ans, envisage l’avenir sous la forme d’un retour. Séparé de son amie française, il décide de rejoindre sa terre natale et, avant de retrouver la Casbah de l’enfance, s’installe sur la côte, en marge de la capitale, … Lire la suite
Tourner et retourner son passé par Ali Chibani La romancière Assia Djebar, nommée à l’Académie française, est historienne de formation. Elle a également touché au cinéma à travers des films documentaires comme La Nouba qui est au cœur de la troisième partie du roman Vaste est la prison1 où le personnage autobiographique, Isma, revient … Lire la suite
Ecriture du sang, écriture en sang par Ali Chibani Vaste est la prison est le troisième volet du « Quatuor algérien » de l’écrivain Assia Djebar. Le titre de cet ouvrage est tiré d’une complainte berbère rapportée par Jean Amrouche et chantée par sa sœur, Taos Amrouche : « Vaste est la prison qui m’écrase/ D’où me viendras-tu, délivrance ? » … Lire la suite
Le tangage des corps et des âmes par Virginie Brinker « J’aime ce dialogue à la fois de nos corps, et la façon dont je peux délier enfin ma parole » s’exclame Thelja, jeune algérienne de trente ans, blottie entre les bras de son amant François, de vingt ans son aîné. Le couple … Lire la suite