Plaisir et conscience d’écrire Par Ali Chibani La publication du Capitaine Fracasse par Théophile Gautier a été suivie d’une vive polémique. Le roman attendu pendant tant d’années est finalement traversé par de longues descriptions dont le lecteur ne voyait pas l’intérêt. Pourtant, c’est dans ces descriptions que se ressent vivement le plaisir qu’a l’écrivain … Lire la suite
Le football, un art de fraternité Par Ali Chibani Dans Le jour où Pelé…[1], Abdelkader Djemaï s’intéresse à une période très peu abordée par les romanciers algériens pourtant habitués à faire concurrence aux historiens. Il s’agit en l’occurrence des premières années de l’indépendance. Le narrateur évoque quelques journées de la vie … Lire la suite
« Je suis plus sorti d’une salle de cinéma que d’une bibliothèque » Pour clore le dossier dédié par La Plume Francophone au grand écrivain Abdelkader Djemaï, Virginie Brinker et Ali Chibani l’ont rencontré et interrogé sur son histoire et sur son écriture. Plusieurs de vos romans se centrent sur de petites gens, … Lire la suite
Lecture du troisième roman d’Abdelkader Djemaï, Un été de cendres Identité, francophonie et mondialisation Abdelkader Djemaï et Albert Camus Sur le site de l’INA, Abdelkader Djemaï parle de Le nez sur la vitre Abdelkader Djemaï sur France Culture pour combattre les clichés
« (presque) » par Elsa Costero Un texte se fait livre au fil de la lecture de ses premiers mots, de son paratexte. La Vie (presque) vraie de l’abbé Lambert, d’Abdelkader Djemaï, paru en mai 2016, se présente à travers son titre, un résumé, sur la quatrième de couverture, une citation mise en exergue, et un avertissement. … Lire la suite
Impensés et héritages historiques dans Le Nez sur la vitre d’Abdelkader Djemaï Par Ali Chibani Le nez sur la vitre[1] est un roman qui reflète parfaitement le style de son auteur et sa personnalité. Ouvert sur le monde, réaliste et généreux, Abdelkader Djemaï aime à s’intéresser aux histoires des gens simples qui deviennent … Lire la suite
Écrire en empathie par Virginie Brinker A mi-chemin entre le conte et le court roman du quotidien, Le chat de madame Michel d’Abdelkader Djemaï donne à voir une écriture que l’on pourrait qualifier d’empathique, qui était déjà celle mise en œuvre dans Gare du Nord[1], épousant parfaitement, entre humour et tendresse, la vision du monde … Lire la suite
Pour la réhabilitation du cochon Par Ali Chibani Pour les lecteurs qui cherchent un livre apaisant et enrichissant, Histoires de cochons[1] est l’ouvrage idéal. Dans ce récit, l’écrivain algérien Abdelkader Djemaï[2] dresse un portrait flatteur du cochon, retrace son histoire, énumère ses espèces, et décrit les fêtes et les rites qui montrent que le … Lire la suite
«D’une bouteille à un autre monde[1] » par Virginie Brinker Avec la fin de la trêve hivernale et l’arrivée des beaux jours, on a tendance à oublier que l’été est une saison meurtrière pour « ceux qui sont dehors», comme les nomme Abdelkader Djemaï, dans la dédicace d’Un Moment d’oubli. Ce roman retrace la descente aux enfers de Jean-Jacques … Lire la suite
« Des valises sans poignées [1]? » par Virginie Brinker Epitaphe, le premier roman d’Antoine Matha, écrivain originaire du Congo-Brazzaville, publié en 2009[2], entre me semble-t-il en résonance avec l’œuvre de l’écrivain d’origine algérienne Abdelkader Djemaï, Gare du Nord, publiée quant à elle en 2003[3]. En effet, ce sont deux textes qui évoquent des trajectoires parallèles de migrants, … Lire la suite