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Cinéma, Nadir Moknèche

Nadir Moknèche, Délice Paloma

« Un conte cruel sur l’Algérie contemporaine »

par Célia Sadai

 

 


Alger, Juin 2006. Le premier plan du film montre Zineb Agha, plus connue sous le nom de Madame Aldjéria (Biyouna), récupérant ses biens auprès de la gardienne d’une prison pour femmes. Négligée, les cheveux grisonnants, la Rossy de Palma algérienne entame son crépuscule. Un nouveau nom, Madame Aldjéria, et un destin anthropomorphe qui la lie aux nécessités de la nation algérienne – d’ailleurs elle porte un survêtement aux couleurs du drapeau national : vert et blanc, avec un peu de rouge. Pour autant, elle n’a pas renoncé aux escarpins à talons qui lui confèrent la hauteur du personnage qui ne chutera pas.

Dans une voiture parquée en face de la prison, on reconnait Nadia Kaci (Zouina/Shéhérazade), la Fifi délurée de Viva Laldjérie. Le contraste est fort : « habillée en corbeau » (voilée), elle apparaît aux côtés de son époux (un Barbu) et ses fils, et de Mina (Fatima Ouabdesselam), la sœur d’Aldjéria. Après un bref échange, Madame Aldjéria rentrera seule à son appartement.

-Qu’est-ce que c’est que ce déguisement, hein ? T’es sur une affaire ?

-Arrête. Je suis mariée maintenant. Tout va bien. J’ai un beau mari, un appartement, des enfants. Hamdoullah tout va bien.

-Tout va bien !? Eh ben, on dirait pas.

La scène liminaire expose le conflit des artefacts familiaux avec les désirs individuels. Durant son absence, chacun s’est affranchi de l’autorité d’Aldjéria pour accéder à son rêve. Dès lors, de coryphée larmoyant en conteuse cynique, Aldjéria erre dans la ville le temps d’une longue anamnèse et restitue, sur le modèle de l’enquête policière ou du roman noir, les motifs de sa déchéance. Il n’est pas question de justice pourtant : plutôt d’un conte cruel car Aldjéria « a payé sa dette » au centuple. La comédie, que le titre annonçait légère, préfigure donc le Délice Paloma comme une douceur empoisonnée.

Madame Aldjéria, « bienfaitrice nationale »

L’agence de Madame Aldjéria, « Madame Aldjéria vous arrange ça », a pour mission de négocier avec les impératifs de la corruption, comme de « réparer les travers du code de la famille algérien ».

C’était ça mes petites affaires. Provoquer le petit coup de pouce que le destin tardait à donner dans les commerces, dans les affaires de cœur, dans les divorces. Des tas de gens ont besoin que leurs affaires s’arrangent et ne savent pas comment s’y prendre… Et puis on vendait un peu d’amour, histoire d’alléger la solitude de certains hommes. En fait, j’étais devenue une bienfaitrice nationale.

Dans « l’affaire de la Fleur du jour », elle aide un glacier à détrôner le « roi du sorbet » auquel elle envoie les services d’hygiène pour obtenir la fermeture de ses locaux. Il en est de même dans « l’affaire du cinéma l’Alhambra », le gros coup qui permettra à Aldjéria de se retirer des affaires. Madame Bellil a hérité du cinéma de son père, l’Alhambra, mais elle souhaite divorcer de son mari et partir avec le caissier, un jeune éphèbe algérois, tout en conservant son cinéma. Elle fait donc appel à Aldjéria pour piéger son mari et engager une danseuse qui se produira sur les planches de l’Alhambra, séduira M. Bellil, et le poussera à l’adultère « pris sur le fait ». Autour d’Aldjéria, les membres du clan portent tous un masque d’acteur selon les nécessités de l’affaire : Shéhérazade/Zouina (Nadia Kaci) se prostitue, Maître Djaffar (Lyès Salem) revêt à propos sa robe d’avocat pour mieux manipuler les clients… Seul le fils Riyad (Daniel Lundh) n’est pas donné en pâture ; pourtant Aldjéria recrute Rachida/Paloma (Aylin Prandi), une serveuse à peine sortie de l’enfance, et la pousse à piéger M. Bellil. Une bienfaitrice qui corrompt les vertueux, donc, mais qui s’adapte aux stratégies de survie du pays. C’est sur ce pragmatisme salvateur que Madame Aldjéria fonde son entreprise, et Nadir Moknèche s’en justifie :

C’est un des visages de l’Algérie d’aujourd’hui. Nous sommes passés d’une économie socialiste à une économie de marché. De plus, 100 000 Chinois sont venus s’installer en Algérie pour bâtir des hôtels et ouvrir des ateliers de confection. Ils travaillent sept jours sur sept alors que beaucoup d’Algériens sont au chômage. Trouver un emploi dans cet univers de combines, de pistons et de pots-de-vin n’est donc pas chose facile. Il faut passer souvent par un intermédiaire comme Mme Aldjéria, au carnet d’adresses bien fourni. Adolescent dans les années 1980, j’ai souhaité changer de lycée. Ce n’était pas possible par voie légale. Mes parents ont donc dû offrir une bouteille de whisky à quelqu’un d’influent pour que je puisse entrer dans l’établissement de mon choix.[2]

Délice Paloma est le dernier volet de la trilogie algérienne de Moknèche (Le harem de Madame Osmane[3], 2000, Viva Laldjérie[4], 2004). Une fois encore, ce qui est raconté du quotidien algérien, c’est un système de survivance où domine un ordre du monde cynique, patriarcal et arbitraire qui exclut les algériens de leur propre autorité. Si la terreur qui régnait dans les deux films précédents, engendrés dans le trauma des Barbus et de la guerre terroriste algérienne, s’est estompée, le récit porté aux lèvres d’Aldjéria la mafieuse ne nous éloigne pas d’un constat politique tout aussi pessimiste sur une nation prise au piège des intégrismes et de la corruption. Ainsi, quand une femme apparaît à l’agence de Madame Aldjéria, implorant son aide pour retrouver son fils disparu, celle-ci la renvoie sans aucune compassion, annonçant le retrait du bien commun. Et régulièrement, on quitte le récit d’Aldjéria pour retrouver son double, au présent de narration.

Fraîchement sortie de prison, elle est victime d’une « double peine » : bannie par sa famille, elle est aussi sacrifiée par ses voisins qui l’ont dépouillée de tous ses biens en son absence. Son somptueux appartement est devenu un  pigeonnier sinistre et ravagé par la moisissure. Personnage éponyme et anthropomorphe, Aldjéria porte une épaisseur symbolique malgré elle… Sa faillite représente-t-elle une nation qui périclite à force d’enfermement et d’individualisme?

Alger vue du le balcon : Moknèche topographe

 Le public français a récemment accueilli avec enthousiasme le film de Xavier Beauvois Des dieux et des hommes[5] (Septembre 2010), qui articule de bien des manières les Histoires française et algérienne. Le film raconte le destin du père Christian (Lambert Wilson) et des moines trappistes de Tibéhirine enlevés puis assassinés par un groupuscule du G.I.A. (Groupe Islamique Armé) en 1996. Le récit est pudique, la restitution fidèle, les comédiens efficaces. Pourtant ce n’est pas l’Algérie. On n’y parle pas l’arabe d’Algérie, les figurants, les costumes et le décor n’évoquent en rien l’Algérie : comme de nombreux réalisateurs, Xavier Beauvois tourne au Maroc (Meknès). A ce titre, la trilogie algérienne de Moknèche est photographique et suit quelques impératifs topographiques incontournables : la hauteur, la baie, l’horizon, trois éléments qui estampillent toute carte postale de la ville d’Alger.

Depuis la guerre terroriste des années 1990, voir vivre Alger à l’écran est devenu chose rare : «Un pays qui a été fermé donne très peu d’images», explique le réalisateur. Face à l’inflation des discours sur l’Algérie, l’image visuelle met désormais l’image verbale au défi – d’où les longueurs contemplatives qu’on remarquait déjà dans Le Harem de Madame Osmane. La démarche n’est pas qu’esthétique pour autant. Les lieux montrés ont été choisis avec la sensibilité du Marcheur décrit chez Michel De Certeau[6]. Moknèche construit des « situations algériennes » pour rappeler la nécessité du local, du territorial. Alger est dévoilée par un procédé d’extraction, de sélection, qui pourrait participer d’un discours à la fois historique et géographique.

Le décor donne à voir la ruine, vestige d’une Algérie immémoriale, du temps des invasions romaines ou ottomanes. Rachida/Paloma vit dans la commune de Tipaza, et habite derrière le Tombeau de la Chrétienne, mausolée datant du II/Ier siècle av. J.-C. Chaque jour, elle vient à Alger pour travailler à la Fleur du jour, au cœur de la « ville européenne » – ou coloniale (quartier du Sacré Cœur). Les toponymes aussi font sens. Le Sheraton d’Alger et Le Miami sont les lieux « où l’on fait des rencontres » dévoilant une Alger festive qui vibre au son du raï de Cheb Rafik. Mme Bellil, qui se bat pour protéger son cinéma, L’Alhambra, rappelle le combat de La Papicha qui tentait d’exhumer le cabaret Le Copacabana dans Viva L’aldjérie. Alger s’incarne enfin, et fait résonner son pouls, ses promesses et ses défaites.

Sur le modèle narratif du conte cruel, Madame Aldjéria entreprend donc sa quête : racheter les thermes de Caracalla, à Fouka (région de Tipaza). Elle a grandi dans cet ancien village de pécheurs siciliens, qu’elle a quitté à la mort de son père, gérant des thermes. Lorsqu’elle décide d’y emmener sa « famille » – Ryiad, Shéhérazade et sa sœur Mina, Madame Aldjéria se perd ; comme si la route qui menait aux thermes s’était effacée. Mina retrouve le chemin, bien plus loin : au cœur de jardins abandonnés trône le buste de l’empereur Caracalla. Aldjéria cède alors à un fantasme d’enfance et embrasse les lèvres de Caracalla. Pour elle, c’est à la fois le lieu du retour et du recommencement, un paradoxe temporel auquel s’ajoute la charge historique du site : Caracalla fut un Empereur romain d’origine berbère, auteur de l’Edit de Caracalla (212 ap. J.-C.) qui attribue la citoyenneté romaine à tous les sujets de l’Empire. De plus, les thermes sont classés patrimoine mondial de l’UNESCO et rappellent une Algérie traversée par les visiteurs d’ailleurs : le Pape Jean XXIII, Fidel Castro, Arafat, Amin Dada y ont fait séjour.

– Qu’est-ce que c’est que ça, Caracalla. C’est à nous mais ça ne nous appartient pas… Aldjéria c’est votre vrai nom ? 

Madame Aldjéria entend rebaptiser les thermes de Caracalla pour les « thermes d’Aldjéria ». Moknèche fait sans doute référence ici à la cartographie schizophrène de la ville algérienne. Au lendemain de l’Indépendance, on a en effet substitué des noms « nationaux » aux toponymes choisis par les urbanistes coloniaux ainsi que ceux datant des grands Empires berbères. Ainsi, Aldjéria noue un lien qu’elle ne peut assumer avec sa propre histoire. Elle embrasse le buste de l’empereur, mais choisit de rebaptiser les thermes.  Elle s’effondre du fait de sa propre démesure – vertige dont chaque algérien est porteur : « La couronne de Caracalla était beaucoup trop lourde pour ma petite tête. ». Comment démêler les rets historiques et identifier la propriété nationale, l’impropre hérité, l’absence fantasmée ? Dans le concert des civilisations en concurrence, l’Algérie ressort irréductiblement métisse et nécessairement ouverte. Si les hommes ne le disent pas, la pierre les trahit.

Dès lors on peut interpréter l’histoire d’Aldjéria sous l’angle du romantisme socialiste. Quand les thermes ont été nationalisés à l’époque de Boumédiène, ils ont été abandonnés puis mis en vente par la Commission de privatisation des biens touristiques, présidée par un ancien Ministre des droits de l’homme qui ne saurait entrer en affaire avec une mafieuse. Grâce à l’affaire de l’Alhambra et quelques pots de vin, Madame Aldjéria s’apprêtait à racheter un lieu millénaire de la conscience historique et identitaire algérienne : comment peut-on brader la mémoire collective ? Il s’agirait de dépasser la politique et l’individualisme. Moknèche invite à l’élévation romantique, et c’est sans doute pour cela qu’il installe le clan d’Aldjéria au 17ème étage d’un immeuble algérois, malgré la tentation du vertige et de la démesure.

Mère maquerelle ou Mère nourricière ?

https://i0.wp.com/www.notrecinema.com/images/filmsi/delice-paloma_378627_20493.jpgLa critique a beaucoup rapproché le cinéma de Nadir Moknèche de celui de Pedro Almodovar. D’ailleurs, dans son premier opus, Le harem de Madame Osmane (2000), Moknèche « pique » la vedette d’Almodovar, Carmen Maura. Elle y campe Madame Osmane, diva excessive et méditerranéenne dramatique. Comme chez Almodovar, c’est la Mère qui gouverne le clan. On ne parle pas de famille, car l’instinct maternel (ou de gouvernance ?) y est si envahissant qu’en lieu de filiation, les liens sont régis par un principe de substitution (maternité, fraternité…). Yasmine et Paloma deviennent les « filles » de Madame Osmane et de La Papicha ; Goucem et Fifi sont des sœurs… Et Riyad et Shéhérazade semblent entretenir une relation incestueuse.

Le clan occupe généralement une pension collective, où il n’y a pas d’espace privé. Plusieurs générations qui vivent ensemble, autant de pièces rapportées, et on y parle beaucoup des absents, les hommes qui, quand ils ne sont pas morts, sont des traîtres adultères. Seuls sont épargnés les fils et les homosexuels. Dans Délice Paloma, l’appartement d’Aldjéria évoque celui de Pepa (Carmen Maura) dans Femmes au bord de la crise de nerfs[7]. La scène d’intégration de Paloma au clan dramatise l’espace « scénique » de la terrasse, où Shéhérazade prend un bain sous les yeux de tous. L’intrusion de sa concurrente, plus jeune et plus belle, provoque son retrait hors du clan. Le jeu des substitutions est donc voué à l’échec : les femmes semblent toujours au bord de la crise de nerfs.

Les appartements sont les lieux où les mères nourricières phagocytent les désirs individuels des jeunes du clan, au nom de leurs propres obsessions qui les aveuglent. Madame Osmane est obsédée par son mari qui l’a abandonnée pour vivre en France avec une autre. La Papicha est obsédée par un passé qui est révolu et dont elle cherche les traces dans toute la ville. Aldjéria est obsédée par le rachat des thermes, et étouffe les promesses du futur dans un idéal d’enfance. Son instinct maternel mis à mal, Aldjéria symbolise une nation qui n’écoute pas sa jeunesse : Riyad, Shéhérazade, Paloma. Son vrai nom, Zineb Agha, ramène le propos du film au temps des Ottomans. L’Agha, mot turc, désigne le titre militaire de commandant sous l’Empire Ottoman. Aldjéria descend donc de janissaires ottomans très redoutés : « des bâtards, et ça ne les a pas empêchés d’être à la tête d’un empire », raconte-t-elle à Riyad, lui-même en quête du nom italien d’un père qu’il n’a jamais connu. Héritage déterminant selon Nadir Moknèche :

Cette femme a une volonté de régner, d’ailleurs elle gère son clan comme un janissaire : je suis descendante de janissaire, elle s’appelle d’ailleurs agha, agha c’est un janissaire. Donc la mettre dans un immeuble de 17 étages, c’est une volonté de la mettre au-dessus […][8]

Pourtant, face aux ambitions démesurées d’Aldjéria-janissaire, résiste un rêve d’enfance qui annoncerait la fin d’un cycle de corruption pragmatique et de gouvernance protectrice. Le retour aux sources salvateur se redouble du thème du renouvellement par l’eau thermale, porteuse du mythe de la jeunesse éternelle. Pourtant, dans le film, personne n’arrive jamais à ouvrir les vannes des thermes. Lors du grand méchoui qu’organise Aldjéria aux thermes, Bilal, un ouvrier barbu, tente d’ouvrir l’eau de la piscine, durant de longues minutes. L’eau ne coule pas, et tous partent se baigner dans la mer. Pourtant, ces minutes scellent la rencontre de l’islamiste avec Shéhérazade. Si l’eau ne s’écoule pas pour promettre un nouveau cycle, c’est que la situation est condamnée. Shéhérazade, redevenue Zouina, enfantera des jumeaux avec Bilal – seule famille engendrée parmi tous les personnages, prescrivant un retour fataliste au cycle d’une autorité religio-patriarcale.

Ceux qui opposeront leurs ambitions au schéma séculaire n’auront d’autre option que la mort ou la fuite. Comme Sakina et Yasmine (Le harem de Madame Osmane), Fifi et Goucem (Viva Laldjérie), les jeunes sont sacrifiés dans Délice Paloma. Et cette fois, Moknèche supprime la scène qui permettait de clore la narration et d’inscrire le registre du tragique : la scène de reconnaissance du cadavre, sublimement interprétée par Carmen Maura. Cette fois, on ne sait pas où sont les corps. Et le temps est crevé, ouvert pour toujours. Au deuil d’Aldjéria la matricide se substitue le rempart de l’imaginaire : Aldjéria s’invente chaque jour des histoires où Paloma et Riyad coulent des jours heureux en Italie.

Retour au 17ème étage de l’immeuble Lafayette à Alger. Ce qui s’y joue, c’est la peur du vide, et les promesses de l’horizon. Paloma et Riyad se sont enfuis à bord d’une barque. Avec le projet des thermes, Aldjéria souhaitait protéger son clan, enfermer les jeunes au frigidarium pour ne plus les exposer au cynisme du monde. Son échec et sa pénitence représentent l’impossibilité d’une méthode. Pour protéger ses ouailles, la nation algérienne doit d’abord renouveler sa vision du monde, et entamer un nouveau cycle, dans une démarche dialectique.


[1] Nadir MOKNECHE, Délice Paloma, 2007, 2h14, Distribué par Les Films du Losange.

[2] Propos de Nadir Moknèche, recueillis par Nadine Baudin dans un article publié le 11 Juillet 2007, http://www.algeriesite.com/Algerie/Actualite/culture/culture.php?id=690

[3] Nadir MOKNECHE, Le harem de Madame Osmane, 1h40, 2000. Avec Camen Maura, Myriam Amarouchene, Biyouna, Linda Slimani, Nadia Kaci.

[4] Nadir MOKNECHE, Viva Laldjérie, 1h53, 2004. Distribué par Les Films du Losange. Avec Lubna Azabal, Biyouna, Nadia Kaci.

[5] Xavier BEAUVOIS, Des dieux et des hommes, Septembre 2010, 2h00, Mars distribution.

[6] François DOSSE, Michel de Certeau : le marcheur blessé, Ed. La Découverte, coll. « Poche », Paris, 2007.

[7] Pedro ALMODOVAR, Femmes au bord de la crise de nerfs (Mujeres al borde de un ataque de niervos), 1988, 88 min., production El Deseo S.A.

[8] Interview de Nadir Moknèche à la télévision algérienne, dont la vidéo est disponible en ligne : http://www.dailymotion.com/video/x5kkbg_delice-paloma-interview-nadir-mokne_music

Pour en savoir plus, des extraits conséquents du dossier de presse de Délice Paloma sont disponibles en ligne, dont une interview de Nadir Moknèche par le journaliste Tewfik Hakem : http://www.cinemovies.fr/fiche_info-15232-prod.html

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